Quand on se fait prendre .. en direct. [PV Johnattan] [YAOI]

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Chaud. Il faisait chaud aujourd'hui. Tout était trop chaud à mon goût. Je venais d'arriver dans ce pensionnat, grand. Je me sentais déjà malade. Brûler. Je voulais juste tout brûler.
Je poussa de faibles gémissements de gêne et regarda d'un air enfantin autour de moi en demandant ma chambre. Dortoir des garçons. Au moins, je savais que j'allais trouver beaucoup de personne à faire souffrir. Je souriais intérieurement par simple méchanceté. Combien étaient gays ici ? Et puis au pire, je n'avais qu'à les faire devenir.
Il était quatorze heures. Dans ma chambre. Je rangeais tranquillement mes affaires en prenant le premier lit à ma portée. Je fis en sorte qu'on ne voit aucune de mes affaires et partit aussitôt de la chambre pour aller voir si je n'avais pas déjà quelqu'un d'intéressant pour le lendemain. Vingt heures. Crevé. Fatigué. Je devais dormir. Dormir. Juste dormir.

Le temps passait vite. Il était déjà seize heures et je me retrouvais déjà dans ma chambre, un garçon avec moi. Assit avec moi sur le lit à me parler. Je poussai des rires assez légers et voulais le faire. N'importe comment, avec n'importe qui. Tant qu'il me satisfaisait.
Sur le lit. Le garçon que je voulais avoir était là, devant moi. Et moi, baissé à la hauteur de son entre-jambe d'un regard légèrement peureux, de peur de tout rater. Il se mit à me rassurer pendant que je rougissais énormément d'une fausse gêne. Je tourna mon regard en ne voulant pas voir, ouvrit doucement sa braguette et faisant avec mes fins doigts des cercles autour de son gland. Je faisais comme si je ne savais pas du tout quoi faire.
Je finis par le regarder d'un air décisif en baissant doucement son pantalon puis son boxer, me laissant voir l'objet de mes désirs. Je regarda d'un air discret vers la porte mais ne voyant personne et n'entendant rien, me décida à commencer.
J'empoigna assez violemment son entre-jambe pour voir à quel point il pouvait être sensible et me leva doucement en commençant à l'embrasser, passant ma langue dans sa bouche avec facilité et chauffant le jeune homme en passant mes mains sur sa verge qui se gonflait de plus en plus à chacune de mes caresses.
Je finis par arrêter le baiser en rigolant faiblement et en ayant un sourire intérieur satisfait. Facile. Il était trop facile à avoir. Je me baissa doucement en déposant un baiser sur le bout de sa verge et finit par la mettre dans ma bouche en gémissant faiblement de gêne. Ce garçon poussa un violent râle de plaisir en me laissant caresser le bout de sa verge avec la langue, mes yeux ne le quittant pas pour voir tout ce qu'il ressentait sans que j'en prenne vraiment plaisir. J'y étais habitué, c'était ennuyant. Je continua de lui faire une fellation en caressant toujours la base de son entre-jambe de mes deux mains libres. Il prenait plaisir, si ça continuait, il allait jouir dans ma bouche. Je n'avais que ça à faire. Je soupira intérieurement en fermant les yeux et continua de lui faire une fellation. Je m'ennuyais. Même si mon corps en disait le contraire, je ne ressentais pas de vrai plaisir.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je venais à peine de rentrer que j’étais déjà désespérer de l’année. Il faut dire que je suis la depuis longtemps. Trop longtemps sûrement. Alors voir je ne sais combien de nouveau ravi d’arriver ici cela m’agaçait au plus haut point.

« Tch. Académie de merde. »

- Un peu de respect M. Swann !

« Oh, oui, excusez moi. Mais qu’est – ce que je dis, je suis d’une vulgarité extrême ! Permettez-moi de corriger : Tch. Mais qu’elle est donc cette Académie de merde. » Un sourire narquois étire mes lèvres. « Tout cela est bien plus polie. »

Faisant pouffer les élèves aux alentours et faire rougir de rage le surveillant, je partis sans rien ajouter. « Un peu de respect » qui me dit, il m’a déjà vu respectueux lui ou quoi ? Il me connait de puis toujours et il n’a jamais rien dit. Il est vraiment pathétique lui. M’enfin, j’espère franchement tomber sur une victime en colocataire, je me ferais un plaisir de le martyrisé !

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Bon, une journée a tourné et viré sans trouvé personne ça me met sur les nerfs. J’ai limite envie de taper tout ce qui bouge alors que je ne suis même pas violent normalement. M’enfin, une bonne douche me fera du bien.
Seulement, en entrant dans ma chambre, j’entendis des bruits… Intéressant. Un garçon poussé des râles de plaisir. Mais pas de gémissement de gonzesse en chaleur. Si mon colocataire était gay j’allais vraiment mais vraiment bien m’amuser.
Rentrant comme si de rien n’était, j’eus un grand sourire intérieur en voyant la scène. Heureusement que mon sourire n’avait pas étiré mes lèvres. J’avais toujours mon air froid et rebelle.

« Aller sucer et vous faire sucer ailleurs les tapettes. » Lançais – je de ma voix la plus haineuse.

Je me rendis tranquillement sur mon lit et m’ y installa sans prendre la peine de ranger mes valises qui trainer sous mon lit.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Chaud. Ennuyant.

« Aller sucer et vous faire sucer ailleurs les tapettes. »

Cette voix, était-ce alors mon colocataire ? Je rouvris doucement les yeux en tournant mon regard vers l'homme qui était à l'origine de cette voix et finis par retirer ma bouche de l'entre-jambe tendue comme un balais. Je soupira faiblement et me releva très doucement pour déposer un calme baiser sur les lèvres. A mes actions, on aurait cru que c'était moi l'invité dans toute l'histoire alors que c'était tout le contraire. Le garçon ferma doucement sa braguette en jetant un regard noir sur mon colocataire et finit par s'en aller sous mon regard et ma moue boudeuse ainsi que déçue. Je le regarda partir en fermant très calmement la porte et me tourna vers mon colocataire en baillant faiblement de fatigue :

« Bonjour colocataire ! »

Je lui sourit à pleines dents et m'essuya très doucement la bouche pour retirer ces stupides microbes. Mon colocataire était sexy, oui. Attirant, oui. Mais je n'allais pas non plus me faire baiser par mon propre colocataire, surtout qu'il allait s'incruster partout et que je n'allais pas pouvoir le lâcher. Je gardais cette moue enfantine et vierge sur mon visage et rougis assez violemment de gêne en tendant mes bras et en secouant mes mains pour nier ce que j'avais fait :

« C .. c .. oublie .. s .. s'il .. t .. »

Je commença à écorcher le mot et m'arrêta en détournant le regard et en rougissant de plus en plus, je ne savais pas si j'étais réellement gêné. Je n'aimais pas dire toutes ces politesses. Ca me faisait vomir. C'était dégoutant pour moi. Je soupira faiblement tout en ayant une moue gênée et me rua vers lui en étant limite à quatre pattes sur lui, mon visage en face du sien pour le supplier :

« S'il-te-plaît ! Ne dis rien ! Si on le découvre je suis mort ! S'il-te-plaît ! »

Mes mains sur son torse, mes jambes assez bien placées sans trop l'être. Disons qu'avec ma faible musculature on pouvait tout de même me renverser assez facilement. J'avais un corps faible quoi. Pâle sans trop l'être tout de même.
Je continua de le supplier du regard et baissa ma tête pour lui montrer encore plus qu'il était le dominant, que je le suppliais plus que tout, que j'étais capable de tout. Je finis par relever la tête en continuant de le secouer et rougis assez violemment en me rendant compte de ma position. Je commença à bégayer des choses incompréhensibles et serra faiblement les poings :

« D .. D .. dé .. désolé ! »

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

« Aller sucer et vous faire sucer ailleurs les tapettes. »

Me mettant sur mon lit, je les regardai calmement tandis qu’il reprenait leur état normal. Quand je vis enfin qui était mon colocataire, je le détaillai du regard et me sentit tout de suite plus calme. Il était petit et faible. La victime parfaite. Ma journée avait mal commencé mais se finissait bien après tout ! Ah, j’allais vraiment bien m’amusé avec lui, je le sentais.

- Bonjour colocataire !

« Ta gueule. »

Le regardant sourire, je me contentais de soupirer. Je haïssais les gens qui souriait pour un rien. J’avais tout de suite envie de les tuer. Je le regardais avoir une moue enfantine et vierge. Qu’on m’explique, une moue vierge ? Il avait plus l’air si vierge que ça après la scène à laquelle j’ai assisté.

- C .. c .. oublie .. s .. s'il .. t .. S’agita t- il soudainement.

Une moue gênée et il bégayer. Il a cru que j’allais avoir pitié ? Il est vraiment la victime parfaite. Je crois que c’est la première fois ou je suis de « bonne humeur » dans cette putain d’Académie. J’avais une excellente victime face à moi. Ce qui promettait pas mal d’heure d’amusement.
Et puis sans que je m’en rende compte il vint se mettre à quatre pattes sur moi.

- S'il-te-plaît ! Ne dis rien ! Si on le découvre je suis mort ! S'il-te-plaît !

« Je parlerais de ça seulement si ça un intérêt pour moi. Maintenant lève toi de la ou je t’en colle une tapette. »

Quand il fut relevé et qu’il s’excusa, j’eus un mauvais sourire :

« Bien mon chien. »

Je détestais les chiens, ils se faisaient dominés avec un simple collier autour du cou. Les chats étaient des animaux beaucoup mieux. Et puis, mes attitudes félines le montraient bien. D’ailleurs j’en avais une à l’instant présent. Je léchais ma main avant de frotter mes cheveux. Oui j’étais bizarre mais faire cela m’occupais quand je m’ennuyais.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Il était parfait. Je voulais juste en avoir avec lui, mais rien que d'avoir une liaison avec le colocataire pouvait aussi dire qu'il allait me voir torse nu, je ne le voulais pas. Je ne voulais pas me montrer torse nu. Surtout pas. Tout mais pas ça. Je passa doucement une main dans mes cheveux et finis par le saluer joyeusement :

« Bonjour colocataire ! »

- Ta gueule.

Quand il me demanda de fermer ma gueule, je fis une moue vexée en un premier lieu puis repris rapidement cette moue enfantine et vierge. Oui, après ce qu'il venait de se passer je reprenais cette moue par habitude. L'habitude tuait. Je me mis rapidement à m'agiter en lui demandant assez rapidement d'oublier ce qu'il venait de se passer par gêne et par honte, écorchant en un premier lieu le mot ''s'il-te-plaît''. Une fois tout cela fait, je me mis à une vitesse assez surprenante à quatre pattes sur le garçon pour le supplier encore plus, mon visage face au sien. Je rougissais légèrement et le fixais des yeux pour montrer que j'étais sérieux .. du moins je faisais semblant de l'être ..

« S'il-te-plaît ! Ne dis rien ! Si on le découvre je suis mort ! S'il-te-plaît ! »

- Je parlerais de ça seulement si ça un intérêt pour moi. Maintenant lève toi de la ou je t’en colle une tapette.

Pour qui il se prenaît franchement ? Le roi du monde peut-être ? Je fis une moue gênée en continuant de rougir et me releva assez violemment en m'excusant aussitôt pour jouer encore plus le rôle. Mon regard se déposa doucement sur lui et je me mordis la lèvre inférieure quand il me traita de chien. Je baissa doucement ma tête de gêne et alla prendre de mes affaires pour prendre une douche. Je n'avais rien de court. J'avais des cicatrices qui commençaient un peu en dessous des épaules et puis .. ça ne m'allait pas du tout. Je pris très doucement une chemise bleue et un jean pour ensuite partir ouvrir la pote de la salle de bain en étant plus que stressé. J'essaya de la fermer à double-tour et regarda les yeux ronds le verrou tourner dans le vide .. cassé ? Dans ce bâtiment ? Pile ici ? Je commença aussitôt à paniquer, jouant à la fois la comédie et non. J'ouvris violemment la porte pour voir si le verrou marchait avec la porte ouverte avant de rougir violemment de gêne en me tapant la tête sur le porte. Je referma aussitôt la porte en m'addossant à celle-ci puis commença à laisser l'eau se réchauffer pour ne pas me retrouver dans une eau glaciale. Pitié. Pourquoi moi ? Pourquoi à cet instant précis ? Pourquoi ne l'avais-je pas prise ce matin au lieu de maintenant ? Avec mon colocataire dans mes parages. Je retira très doucement mon pantalon en me regardant ensuite dans la glace et tapa faiblement la porte en guise de vengeance. Mais avec ma force de fourmi, je n'avais presque rien fait à part me faire mal. Je toussa violemment et me concentra vivement pour me calmer. Pas ça maintenant. Je déboutonna un à un les boutons de ma chemise pour regarder les cicatrices sur mon torse de plus en plus nombreuses et profondes avant de retirer avec peine ma chemise. Posant mon regard de temps à autres sur la porte de la salle de bain.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

- S'il-te-plaît ! Ne dis rien ! Si on le découvre je suis mort ! S'il-te-plaît !

« Je parlerais de ça seulement si ça un intérêt pour moi. Maintenant lève toi de la ou je t’en colle une tapette. »

Oui je me prenais pour le Roi et oui je me sentais vraiment supérieur par rapport aux autres. Après tout, avec mon intelligence et ma logique largement supérieur a la moyenne j’avais de quoi me prendre pour le roi non ? En tout cas pour moi c’était le cas. Après l’avis des autres, je m’en tape complètement.
Le voyant se lever pour aller prendre sa douche avec un air gêné, je repris un air victorieux. Et une victime de plus a mon actif, une. Ah, j’étais vraiment un tortionnaire. Mais j’adorais ça. Mais le pire c’est que cet abruti ne sait pas dans quel guêpier il s’est fourré en me laissant voir qu’il était gay. J’allais en profité des que j’en aurai l’occasion. Enfin, profité dans le sens méchant. Pas profité sans le sens sexuel. Entendons nous bien la dessus, il ne me touchera jamais de sa vie.
Une fois qu’il eut arrêté de faire du bruit pour je ne sais quel raison, je finis par me mettre dos a la salle de bain et m’endormit assez rapidement. Je passais mon temps a dormir quand rien ne m’intéressait dans les environs. Et la comme ma victime était sous sa douche et que j’avais la flemme de me lever, je dormais. C’était aussi simple que ça. Seulement je finis par me réveiller en me rappelant d’une chose, un jour, on m’avait dit que j’avais un air tout gentil et adorable quand je dormais. Ce qui ternissait mon image. Alors sans chercher à savoir si mon colocataire était la ou non, je cachai ma tête sous les couvertures et me rendormit aussi tôt.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Me laissant prendre une douche assez rapidement, je m'enveloppa doucement d'une serviette pour cacher mon corps et me sécha très lentement en me mettant dos à la porte. Je regarda doucement mon torse et déposa ma main dessus pour toucher les cicatrices en me mordant la lèvre inférieure. Je me renferma doucement sur moi-même en jouant à moitié la comédie et finit par m'habiller tout en restant avec lenteur. Quand ma main passa sur la porte, je me mis à reprendre une moue enfantine et l'ouvrit violemment en rougissant aussitôt, voyant le garçon dormir avec une moue trop craquante. Je le regarda se réveiller et mettre la couverture sur sa tête pour ensuite faire une moue boudeuse. Je passa doucement une main dans mes cheveux pour les sécher un peu plus rapidement et m'approcha très lentement de lui. Je continua de le regarder à travers la couverture et la retira violemment en me mettant aussitôt à califourchon sur lui. Je n'étais pas un vrai poids, et je ne devais pas en être un pour lui vu ma taille et le peu que je pesais. Je le regarda doucement dormir en rigolant de temps à autres et continua de passer ma main dans mes cheveux pour continuer de les sécher, laissant des gouttes tomber de partout mais ça, je m'en fichais énormément. Il était craquant. Très craquant. Plus je le regardais et plus je recommençais à être en manque. Je grogna faiblement en m'approcha légèrement de lui et passa doucement une de mes mains sur son torse pour m'occuper. Je m'ennuyais, j'étais assis à califourchon sur son entre-jambe en attendant qu'il se réveille et passait mes frêles mains sur son torse bien mieux que moi. Moi, j'étais maigre, pas anorexique mais maigre, très maigre. Aucun muscle, c'était presque si on voyait mes côtes. A cette pensée là, je me laissa me renfermer sur moi-même et commença finalement à m'endormir, en vrai, j'étais limite vierge. Tous les garçons que j'avais eu, je les avait en temps normal fait patienter jusqu'à faire l'amour et bien évidemment, ils passaient tous par le torse. Tous, sans exception. Je ne m'étais fait pénétré que une fois et il fallait dire que c'était douloureux, très douloureux. Mais aussitôt cela fait, ce garçon reparti en voyant mon torse. Qu'avaient-ils avec les torses ? Pourquoi toujours les torses et jamais rien d'autre ? En gros, c'était comme si j'étais vierge puisque la seule pénétration que j'avais eu n'avait durée que quelques secondes, ne me laissant même pas m'habituer à la douleur et restant toujours aussi étroit. Ca faisait mal, c'était inévitable. Depuis, je me contentais de sucer, de caresser, de chauffer mais rien d'autre. Je ne voulais pas de nouveau avoir mal ou encore me sentir plus que blessé en les voyant me fuir. Certes je voulais les blesser, mais ils me blessaient moi.

Mes paupières se fermaient très doucement par la fatigue que j'avais, la chemise ayant pris l'eau de mon corps, elle prenait les formes de mon torse, mince, très minces. Des sortes de grands traits vides, moulant mes cicatrices. Elle prenait toutes les formes. Autant les côtes que les cicatrices. Je laissa doucement ma tête tomber en avant et me laissa tomber tout en étant resté à moitié à califourchon sur lui. Ma tête tombant sur son cou en le chatouillant légèrement à cause de mes cheveux, mes mains restant sur son torse à le caresser inconsciemment. J'avais ces envies de me faire pénétrer mais il ne fallait pas croire, pas par mon colocataire. Et surtout pas maintenant. Mes jambes renfermant leur prise, serrant donc le bassin de mon colocataire un peu plus fort. Fatigué. Parfaitement fatigué. Je manquais très facilement de sommeil avec mon faible organisme, non pas que j'étais un flemmard mais j'avais besoin de bien plus de sommeil que les autres. Tout ça à cause de cette maladie. Qui me faisait ralentir la croissance .. qui allait sans doute me faire arrêter de grandir bien plus tôt et rester à vie petit. Comme ça. Toujours aussi petit sans pouvoir rien faire.

Et si .. et si mon père n'avait pas réellement été tué ? Et si il était encore vivant en me recherchant pour recommencer à me maltraiter ? Moi ? Ayant une constitution des plus fragiles, je frollais la mort à chaque coups reçus, je crachais du sang à plusieurs reprises, je ne mangeais rien, ne me douchais que trop rarement voir une fois par mois. Heureusement, à sa mort tout avait changé. Oui. Heureusement.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je dormais, profondément. J’étais vraiment fatigué. En fait je l’ai toujours été. Je n’ai jamais été plein d’énergie ou du genre à rester réveillé très tard dans la nuit pour passer la nuit a faire la fête. Moi, je préférais rester chez moi à dormir. Je n’aimais pas sortir. En fait, je n’aime rien mais ça c’est facile de le comprendre en me voyant moi et mon caractère de chieur quoi.
Seulement, comme je vis seul, je ne supporte pas la moindre gêne pour dormir. Alors quand je sentis quelque chose sur moi, même de très léger, je me mis à grogner. Qui osait me déranger pendant que je dors ? Ma victime oserait – elle réellement me déranger ? Et puis je sentais quelque chose de doux sur mon torse.
Quand je rouvris les yeux, je dus d’abord les cligner quelque minute avant de pouvoir voir de manière claire et nette. Quand je vis que mon colocataire se trouvait sur moi et qu’il me caressait le torse et qu’en plus il avait sa tête niché dans mon cou, je crois que j’allais l’étrangler si je n’avais pas eu la logique que j’ai.
Je finis par lever ma main et le prendre par les épaules. Je le mis sur son lit et finit par lâcher ses épaules en tenant fermement son poignet en l’air l'ayant secoué avant pour qu'il se réveille. Le laissant voir mon tatouage en forme de patte de chat sur l'intérieur de mon poignet s’il y faisait attention.

« Je peux savoir ce que tu foutais la !? »

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Endormit. Fatigué. Je caressais inconsciemment son torse en respirant son parfum envoûtant pour ensuite me sentir comme voler. Je me réveilla assez violemment en me sentant balancé sur le lit et poussa un violent cri de douleur en toussant aussitôt. Fragile. Trop fragile. Je regarda d'un air peureux celui qui venait de me faire autant souffrir et commença à verser des larmes de douleur. Tremblant de tout mon corps par cette douleur atroce malgré le peu de ce qu'il avait fait. Il me faisait mal. Qu'il me lâche. Qu'il me lâche.
Je continua de pleurer de douleur en jouant à moitié la comédie, j'avais mal mais je pleurais par comédie, non pas que je le faisais exprès mais c'en était devenu un réflexe. Pleurer dès que j'avais mal. Rire dès qu'on me faisait ne serait-ce que sourire. Je bougea violemment la main pour qu'il me lâche avant de pousser un nouveau cri assez violent de douleur, ça serrait, ça faisait mal, c'était insupportable.

- Je peux savoir ce que tu foutais la !?
« L .. L .. LÂCHE MOI ! »

Je pétais les plombs. Mon regard était plus que peureux, j'allais lâcher. Je pleurai de plus en plus de douleur et finis par réussir à le faire lâcher en me renfermant sur ma main. Un bleu apparaîssant rapidement tout autour de mon poignet. Oui, j'étais tellement fragile qu'à la moindre égratinure, qu'au mondre cognement, je me faisais un bleu jusqu'à une énorme blessure. Je me renferma un peu plus sur moi-même en toussant violemment et le regarda en me mettant rapidement en boule en guise de protection. Je tremblais toujours autant de douleur. Pourquoi étais-je aussi faible ? Pourquoi faisais-je autant pitié ? Je continua de tousser violemment et me calma au bout d'un long moment. Je pris une faible inspiration en gardant ma main contre-moi de peur et chuchota faiblement des mots pour qu'il arrête. Inconsciemment, j'avais encore l'impression qu'il me tenait. Cette violente douleur me traversant tout le corps. Mes nerfs étaient pire que sensibles, ils envoyaient cette douleur partout. Même dans ces cicatrices. Je leva avec difficulté la tête vers lui et me mordis aussitôt la lèvre inférieure de gêne et de honte.

« O-Oublie .. ç-ça .. »

Je me laissa avec difficulté me recoucher sur le lit et enroula la couverture autour de moi pour essayer de me calmer. Fatigué malgré tout. Je cacha doucement ma tête sous la couverture et éternua faiblement à cause de l'eau encore présente sur mes vêtements. J'éternua une nouvelle fois violemment et retira très doucement la couverture pour prendre de nouveaux vêtements, ils étaient inutilisables ceux que j'avais maintenant. Je pris très doucement à peu près les mêmes vêtements et ouvrit doucement la porte de la salle de bain pour ne pas qu'il me regarde me changer.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

« Je peux savoir ce que tu foutais la !? »

- L .. L .. LÂCHE MOI !

Il bougea violemment la main ce qui me fit le lâcher. Il pleurait et avait peur. Non mais c’est quoi son problème a lui !? Je ne suis pas une brute non plus ! Oui j’étais énervé mais je ne l’ai pas balancé et je ne l’ai pas tenue comme un sauvage. Je ne suis pas une brute et puis de toute façon je favorise la violence verbale à la violence physique alors autant qu’il arrête de flipper comme un gamin. Ce mec était vraiment une vraie victime.
Tandis qu’il continuait d’avoir peur et de pleurer je soupirai longuement en revenant sur mon lit :

- O-Oublie .. ç-ça ..

« T’es pitoyable, je t’ai a peine a touché. Et arrête de flipper comme un gamin je suis pas une brute non plus. »

Je me rallongeai tranquillement sur mon lit et cachai directement ma tête sous l’oreiller. Je voulais dormir. Il était vingt – deux heure, et a cette heure la, je suis couché depuis bien longtemps déjà. Je suis un vrai flemmard. Non. Je suis un chat, j’ai besoin de beaucoup dormir. Mais ce qui m’agaçait était vraiment le fait que j’avais une bouille craquante quand je dors.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

J'avais de plus en plus mal à la main. Quand je le vit aller dans son lit en me parlant, je me contenta de l'ignorer en toussant encore et revint au bout de longues minutes, habillé d'une chemise et d'un boxer. Je ne pouvais pas dormir torse nu, c'était impossible. Mais ce qui était le plus gênant était cette chemise trois fois trop grande pour moi, autant dans la longueur que pour la largeur. J'avais l'impression de flotter dedans. Elle était un peu trop grande au niveau du cou et laissait voir le début de mes cicatrices. Je toussa faiblement et me coucha avec une lenteur extrême dans mon lit en me couvrant très doucement. On me prenait trop pour une fille, tout ça. Tout ça. Je me mis ensuite en boule en serrant un coussin contre-moi et m'endormit aussitôt de fatigue, prenant une bouille plus que enfantine et mignonne. Mes mains tremblaient encore et laissaient une énorme marque de bleu, comme si on m'avait frappé assez violemment pour que j'en ai un. Mais non, c'était juste parce-qu'il m'avait tenu trop fort. Mes sourcils se froncèrent faiblement tout en me laissant ressentir la douleur et mes poings se serrèrent très rapidement. Mal. Trop mal. Je me réveilla avec difficulté à cause de la douleur, prépara un de mes coussins et voulu l'envoyer sur mon colocataire sauf que l'oreiller tomba juste à côté de lui. Je fronça faiblement les sourcils et envoya un second coussin de la main qui n'avait pas le bleu, me relevant légèrement pour correctement viser et le balançant en plein sur sa figure. Je rigola d'un léger rire amusé et fatigué avant de prendre mon dernier coussin et le lui envoyer. Moi, ça ne me dérangeait pas, tant que j'avais un endroit où dormir je pouvais dormir. Je l'envoya de toutes mes forces sur son visage ce qui ne fut donc pas très fort et fus déjà essouflé. J'haletais déjà.
Je le regarda en serrant calmement la couverture d'un air amusé et enfantin puis me coucha doucement en ayant la tête sous la couverture, réflexe que j'avais pour ne pas avoir de coup dans le visage sans que je ne m'en rende compte. Réflexe de gosse oui. Quand j'étais petit, j'étais habitué à tout mais je faisais toujours mon maximum pour qu'on me frappe pendant que j'en ai conscience. Et le moindre coup de vent me réveillait.

« W .. »

Je me remis à tousser durant mon sommeil et m'essuya doucement la bouche, il aurait fallu que je recommence ce que j'avais fait plus tôt. Il le fallait oui. Ce n'était pas parce-que j'en avais besoin mais parce-que voulais faire de ce garçon ma proie. Sans qu'il ne le sache, je le manipulais déjà. Certes cela ne se voyait pas encore mais je savais déjà comment faire avec lui, il était facile à cerner, et même trop facile à mettre au lit et à manipuler. Beaucoup trop. C'était ce genre de garçon à tout accepter du moment qu'il prenait plaisir. A tout faire une fois qu'on lui a fait ce qu'il voulait. Voilà. C'était ce genre de garçon qu'il était à mon goût.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je dormais vraiment tranquillement. Pour une fois, mon sommeil était vraiment profond et beaucoup trop agréable pour que quelque chose me réveille. Je ne rêvais pas. Je ne faisais jamais de rêve. C’est juste que j’étais trop bien installé, au chaud sous la couverture. Je m’y sentais trop bien pour me relever et m’énerver contre quelqu’un. Ce qui fait que quand mon coloc’ tenta de m’énerver en m’envoyant des coussins, je ne bougeai même pas. Je me contentai de me tourner en lâchant un miaulement involontaire tout en dormant. Oui j’avais vraiment des attitudes de chat. Je n’ai jamais su d’où cela venait d’ailleurs. Peut – être que comme j’ai toujours aimé les chats j’ai adapté peu à peu leurs comportements. Oui, cela doit être ça.
Sortant ma tête de la couverture sans le vouloir, je me remis à bouger dans mon sommeil, et finit par me tourner du côté de mon colocataire. Ainsi, en plus de me voir moi s’il le voulait, il pouvait distinguer que j’avais quelque chose sur l’intérieur du poignet. Mais j’étais trop endormis et trop bien installé pour m’en rendre compte.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

La nuit passa à une vitesse bien plus que rapide à mon goût. Je me réveilla avec difficulté dans les environs de midi en baillant faiblement et regarda mon colocataire dormir sans rien dire. Je rougis faiblement tout en le regardant et tourna mon regard vers la porte avec ennui. Je bailla une nouvelle fois assez longuement de sommeil et entendis quelqu'un frapper assez faiblement à la porte. Je gémis faiblement pour dire qu'il y avait quelqu'un, ne m'attendant pas du tout à ce que ce soit le garçon de la veille qui me venait là, légèrement rouge.
J'haussa un faible sourcil fatigué tout en le regardant et le regarda se mettre à quatre pattes sur moi les yeux ronds. Je gémis faiblement pour qu'il arrête et essaya rapidement de le repousser pour qu'il arrête. Pas ici, pas devant mon colocataire en tout cas. Je continua de gémir en essayant de le pousser, qu'avait-il ?! Comme si il était somnambule ! Je poussa un violent gémissement de plainte en le voyant me tenir par les poignets avec une seule main et en commençant à me caresser mon entre-jambe pendant que je me débattais avec de plus en plus de difficulté. Mon corps prenait plaisir mais moi, je n'en étais que plus dégoûté des garçons tout en gardant cette sensation avec les garçons. Je les aimais mais .. je ne pouvais pas. Je le regarda d'un air peureux et le sentit me caresser le torse par dessus ma chemise, qu'il arrête. Je continua d'avoir extrêmement peur et cria violemment pour qu'il arrête. Non. Par pitié.
Sa main passait doucement mais certainement sous ma chemise, chaude mais inconfortable. Douloureuse. Elle me griffait légèrement comme pour me chauffer encore plus mais cela ne faisait que de me faire mal à cause des cicatrices qu'il n'avait pas l'air de sentir. Je poussa un violent cri encore plus fort que les précédents et lui donna un faible coup de pied dans la jambe, ce qui n'eut pas grand effet. Pitié. Pitié. Pas ici. Pas maintenant. Pourquoi ?
Je finis par abandonner en laissant mon regard s'assombrir et gémis faiblement de gêne en fermant les yeux de peur, des larmes me coulant assez rapidement. Trop rapidement. Je n'en pouvais plus, je voulais juste mourir. Mourir. Qu'on me laisse. Je ne voulais pas être encore plus sali que je ne l'étais déjà alors par pitié ..

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je finis par me réveiller à l’entente d’un violent cri. Il se faisait violer pour gueuler comme ça ou quoi ? Non mais attends il pourrait au moins avoir une once de savoir vivre. Y’en a qui dorme quoi.
Voyant la scène je balançai un violent coussin sur le mec dessus mon colocataire :

« Hey ! Y’en a qui dorme alors tu pourrais attendre que je me barre au moins ! Maintenant casse toi et va baiser ailleurs ! »

Alors lui, s’il ne partait pas maintenant je crois que je vais péter un câble. Je ne supporte pas qu’on me réveille. Encore moins quand c’est pour s’envoyer en l’air alors que je suis dans la pièce. Et ça m’énervait d’autant plus que j’étais totalement vierge et que je ne connaissais pas mon orientation.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

J'ouvris doucement mes yeux en regardant mon colocataire tout en continuant de pleurer énormément et éclata violemment en sanglot, le garçon regardant d'un regard noir celui qui lui avait envoyé le coussin et en continuant de me caresser le torse sous mes sanglots de plus en plus nombreux. Qu'il arrête. Je poussa des cris de plus en plus fort et le regarda me déboutonner la chemise en me débattant violemment pour qu'il arrête. Je continua de me débattre et regarda la chemise laisser un peu de mon torse se faire voir. Assez pour voir de profondes cicatrices sur mon torse. Je cria une nouvelle fois assez violemment en le suppliant d'arrêter. Par pitié. Juste pas le torse. Je ne supportais pas la vue de mes cicatrices.
Je le regarda finir par s'arrêter de me toucher en s'asseyant calmement sur le lit en soupirant pendant que je me couvrai le torse en continuant de sangloter. Honte. J'avais honte. Je me mis doucement en boule tout en cachant mon visage et serra mes mains contre-moi, de nouveaux bleus apparaîssant. Si j'avais été plus fort, si seulement je l'avais été .. aurais-je au moins pu me défendre ? Ne serait-ce qu'un peu ?
Je regarda avec difficulté mon colocataire tout en pleurant et regarda le garçon partir tout en soupirant sous mon regard peureux et en larmes. Je me tourna une nouvelle fois vers mon colocataire et éclata une nouvelle fois en sanglot, pourquoi toujours moi ? Je serra un peu plus ma chemise contre-moi en la boutonnant avec difficulté et finis par faire entendre un violent éclair dans les environs. J'avais pété les plombs et les éclairs s'approchaient petit à petit. Oui, mon don se remettait en marche. Midi. Il était seulement midi.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je finis par violemment m’énerver. Je balançai violemment un coussin sur le mec de manière à lui faire mal. Oui il m’avait énervé. Même plus que ça. Quand il partit, je poussai un violent grognement et tourna le regard vers mon colocataire. Pourquoi n’arrêtait – il pas de pleurer ? M’enfin, je m’en contre fous. Tout ce que je veux c’est dormir tranquillement.
Quand j’entendis des éclairs. Je haussai un sourcil et me tourna vers mon colocataire, dont je ne connaissais toujours pas le nom d’ailleurs :

« Tu maitrise aussi l’électricité ? »

Alors que je me résignai à dormir, j’entendis des pas qui marchaient vite. La porte s’ouvrit et se referma aussi tôt. Une petite fille d’environ dix ans apparus dans la chambre. Elle avait de long cheveux marron bouclé et de jolis yeux verts. Elle était habillée d’un uniforme blanc et noir et s’approcha de moi. Je mis quelque minute avant de l’a reconnaitre. Bah quoi, j’ai beau être intelligent je mets du temps a ce que mon cerveau se remettent en marche après mon réveil. Il s’agissait d’Alice. Les professeurs m’avait demandé de l’aider dans ses études quand elle fut inscrite ici. Au début on se détester mais elle finit par m’apprécier et forcément moi aussi. Elle voulait devenir aussi agaçante que moi. Alors forcément, je commence a bien l’aimer.

- Onii – Chan je suis la le temps qu’un mec a qui j’ai joué un mauvais tour arrête de me chercher et je te laisse tranquille !

« Arrête de m’appeler comme ça. Je ne suis pas ton frère. » Soupirais – je.

Elle eut un grand sourire et se tourna vers mon colocataire. Elle haussa un sourcil en voyant son état avant de s’approcher de lui en lui souriant gentiment. Oui elle voulait devenir comme moi mais elle a dix ans. Alors forcément à certain moment elle est une gentille petite fille. Elle toucha ses poignets et le bleu disparut ainsi que la douleur.

- J’ai le don de contact curatif ! Moi c’est Alice ! Et toi ?

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Je continuais de pleurer de douleur et restais à me boutonner la chemise en pleurant. En voyant une fille arriver, je me renferma très doucement sur moi-même en n'étant pas habitué à être en contact avec et les écouta sans rien dire. Disons que moi, le premier année dont je m'occupais m'insultait et avait fini par disparaître de ma vue. Je la laissa me soigner sans rien dire et me contenta de l'ignorer en déposant ma tête sur le matelas et en recommençant doucement à m'endormir. Trop fatigué pour parler et ne sachant pas du tout comment m'y prendre avec une fille. Je toussa faiblement et finit par chuchoter très fiablement :

« A .. l .. exa .. ndre .. »

Je toussa violemment et finis par m'endormir tant le sommeil me pesait. Juste dormir, oui, juste ça. On m'avait souvent dit que je me conduisais comme une fille à certains moment mais je me contentais d'ignorer toutes ces personnes me disant cela. Pourquoi ? Parce que je commençais à m'y habituer avec un père de la sorte. Je repris doucement ma moue enfantine en commençant à m'endormir et gémis faiblement de peur, ne voulant pas qu'on me touche durant mon sommeil. Je n'aimais pas le contact physique à part pour draguer. Mais je draguais toujours à ma façon donc ça allait en temps normal. J'étais vierge. Oui, malgré tout j'étais vierge à mon goût. Sentant tout de même trop de monde dans la pièce, je rouvris avec difficulté les yeux en me les frottant légèrement et regarda une nouvelle fois la fille. Je me tourna ensuite vers mon colocataire et hocha finalement la tête pour enfin dire que j'avais le pouvoir de l'électricité. Les éclairs s'étant fini depuis. Je laissa ma main passer dans mes cheveux et je me releva avec difficulté. Je ne mangeais pas aussi souvent que ça. J'allais de temps à autres à l'hôpital pour qu'on me nourisse par ces tuyaux mais je gardais ce rythme de manger que très rarement. Voilà pourquoi j'étais aussi maigre aussi .. Je regarda doucement la pile de vêtements à ma portée pour que je me change et me leva avec difficulté en allant vers la salle de bain. Je ne supportais pas qu'on me regarde. Imaginez alors les débuts de cours. Je toussa faiblement avant de regarder l'emploi du temps qu'on m'avait distribuer. Sport. Lundi, mercredi et vendredi. Soit, demain. Je me tourna ensuite vers une fiche d'information et regarda quel sport j'allais avoir. Me laissant pâlir à vue d'oeil en voyant déjà la matière enseignée. Je toussa violemment et soupira faiblement, heureusement que j'avais cette excuse de maladie. Au moins, je n'aurai pas à y aller.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je les regardai sans rien et finit par m’assoir tranquillement sur le lit en soupirant. Je regardai Alice s’extasiait sur la moue de mon colocataire, Alexandre si j’avais bien compris, en train de dormir. M’en foutant royalement, je me contentais de m’ennuyer dans mon coin.

- Onii – Chan, c’est toi qui l’a blessé ?

« Bien sûre que non. » M’agaçais – je. « Je ne suis pas violent a ce point. »

- Mouais…

Me remettant à soupirer j’eus un sourire amusé en voyant la moue pas convaincu d’Alice. Mais ce sourire disparut aussi tôt. Elle finit par écouter à travers la porte et s’en alla en me saluant et en disant à mon colocataire que s’il avait mal il pouvait l’appeler pour qu’elle le soigne il fallait juste qu’il me demande son numéro. Non mais elle m’a prit pour qui ? Me voyant soupirer, elle rigola et me tira la langue avant de repartir.
Me remettant à soupirer une énième fois, je tournai mon regard vers Alexandre, me demandant ce qu’il faisait avant de me lever en prenant de quoi m’habiller dans mes valises. Oui je n’avais toujours pas rangé mes affaires. Pourquoi ? La flemme tout simplement.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Je toussa faiblement et ouvrit très doucement la porte de la salle de bain. J'essaya de fermer la pote avec le verrou mais celui-ci était toujours cassé. Je soupira longuement et ferma doucement la porte en me changeant doucement, étant toujours dans une chemise trois fois trop grande avec un simple boxer en dessous. Je m'habilla doucement de ma tenue habituelle et sortit ensuite de la salle de bain en baillant longuement de fatigue. Je toussa fiablement de fatigue et me relaissa tomber en douceur sur le lit en recommençant à m'endormir de fatigue. Demain, cours. Il fallait que j'évite de m'endormir en cours. Si mon père était vivant et qu'il découvrait que j'avais des moyennes catastrophiques alors je me referais battre. Je serra très faiblement les poings en regardant mon colocataire choisir des vêtements dans sa valise et marmonna avec difficulté une phrase en espérant qu'il m'entende :

« L .. le verrou est c-cassé .. »

Je finis finalement par fermer les yeux de fatigue, étant capable de dormir toute lajournée tant j'étais fatigué. Je n'avais rien pour m'occuper, ni des amis, ni un téléphone, ni cet boîte à image qu'on appelait télé. Le téléphone faisait un bruit assourdissant tous les deux jours, chaque fois, mon père parlait dans cette chose. La télé, je ne savais pas ce que c'était. Je n'avais jamais compris à quoielle servait. Ce que je faisais pendant ce temps là n'était que étudier et encore étudier. A apprendre par cœur les leçons jusqu'à trois années d'avance de sorte à ne jamais être deuxième de la classe et seulement premier avec des notes à plus de dix neuf.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Ayant finit de choisir mes vêtements après de longues minutes, je haussai un sourcil a la phrase d’Alexandre et haussa les épaules :

« M’en fous moi ça me gêne pas. »

Je finis par aller dans la salle de bain et me contenta de fermer la porte sans l’a verrouillé. Je pris une longue douche et ressortit en ayant une chemise blanche que je boutonnai et un jean. Restant pieds nu et les cheveux mouillés mais coiffés. Je passai une cravate autour du col de ma chemise et l’a noua sans l’a serré. Je me jetai sur mon lit en soupirant, me fichant de mouiller mon oreiller avec mes cheveux.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Je le regarda en rougissant violemment de gêne et me renferma doucement sur moi-même. Je cacha rapidement ma tête dans un oreiller et me leva doucement en gardant un oreiller contre-moi. Je le serra doucement contre mon torse, alla vers mon colocataire et me coucha doucement à côté de lui pour ensuite me rendormir tranquillement. Je préférai dormir en compagnie de quelqu'un pour me rassurer intérieurement. Je resta à serrer le coussin contre-moi en restant dans le lit, ne voulant juste pas dormir seul dans le lit par peur. Je pouvais dormir n'importe où mais le mieux était quand même en compagnie de quelqu'un non ? Me retrouvant face à mon colocataire dont je ne connaissais toujours pas le nom, je gardais ma moue enfantine et mignonne sur le visage en me serrant un peu plus contre l'oreiller. Bougeant faiblement pour me serrer un peu plus contre l'objet que je tenais dans mes bras. Fatigué. Plus que fatigué et déjà piscine. Il fallait un certificat médical mais pour en avoir un, il fallait aller chez le docteur pour se faire consulter. Je ne voulais pas qu'on sache c eque j'avais. Seul l'hôpital devait le savoir. En parlant d'hôpital, je devrai bientôt y aller. La dernière fois remontant à une semaine, je devais aller à l'hôpital au moins une fois par semaine voire plusieurs fois. Rien que pour me remplir le corps de tout ce que j'avais besoin. C'était là-bas où je me sentais le mieux. Je dormais toujours dans une salle où on me surveillait, je dormais rarement aussi tranquillement et même là, je n'étais pas à cent pourcents tranquille.
Mes bras lachant l'oreiller pour tenir très faiblement un peu de la chemise de mon colocataire, je me mis très doucement en boule en laissant ma tête se déposer sur son torse.

« G .. gom .. »

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Je regardai Alexandre venir se couché à côté de moi. Alors que je m’apprêtais à le jeter car je ne supportais pas la compagnie, il finit par s’endormir contre moi. Soupirant en silence je me contentai d’attraper un livre sur ma table de nuit. Je commençai tranquillement à le lire en laissant Alexandre dormir sans rien dire. Quand il vint se mettre a serrer un pan de ma chemise contre lui, je me contenta de me sentir gêné. Je n’avais jamais ressentis autant de gêne. Je finis même par sentir le rouge me montai au joue. Avais – je l’air mignon ? Apparemment oui selon les dires de ce qui m’ont vu rougir même si cela était il y’ a longtemps. L’étais toujours ? Je ne sais pas. L’entendant s’excuser, je ne dis rien. Me contentant de le regarder puis de finir par reporter mon regard sur le livre afin de tenter de cacher ma tête derrière dans l’espoir qu’on ne voit pas mes joues mais je savais que cela était perdu d’avance.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Je continua de dormir profondément en serrant toujours le pan de sa chemise et me serra un peu plus contre-lui, je ne pouvais m'empêcher de sentir son parfum. Je laissa finalement mes mains entourer sa taille inconsciemment et la serrer contre-moi en tenant sa chemise de derrière. Je gémis faiblement en toussant légèrement et continua de garder mon coussin contre mon torse, étant l'une des seules choses me séparant de lui. Confortable. J'aimais dormir contre quelqu'un. C'était confortable oui. Très. J'avais rarement eu l'occasion de dormir contre quelqu'un et c'était souvent après avoir passé un long moment à chauffer un mec. Ca, je ne pouvais pas m'en empêcher de m'endormir contre-eux. Ce n'étais pas non plus comme si je fantasmais sur son parfum non .. je faisais ça à quasiment tous les garçons par réflexe. Mes cheveux cachant tout mon visage, on ne voyait rien à part une boule de cheveux bleu clair. Ma respiration très calme, je respirais très profondément en laissant mon souffle se déposer sur son bas-ventre sans le savoir. Mes jambes restant légèrement repliés sans trop l'être, j'essayais au moins de ne pas le mettre dans une position encore plus délicate qu'il ne l'était déjà. Du moins, je l'essayais. Je toussa une nouvelle fois assez faiblement et ouvrit avec difficulté mes yeux, ne me sentant pas très confortable à cause d'un mal de cou. Je bougea doucement ma tête pour la mettre normalement en ignorant totalement ce que mon colocataire pouvait dire et me rendormit aussitôt. Comme un enfant. J'étais comme un enfant, un rien pouvait me réveiller mais je m'endormais aussi rapidement qu'eux. Il suffisait que je ferme les yeux pour m'endormir. Très rapidement et très bien. Oui. Je serrais toujours autant la chemise en gardant mes bras autour de sa taille et éternua faiblement dans mon sommeil.

Messages : 248 Date d'inscription : 15/03/2013

Continuant de lire mon livre je finis par longuement soupirer et le déposer au sol. Je me tournai vers Alexandre sans rien dire et le regarda dormir sans rien dire également. Sa respiration était tellement calme et tranquille qu’on ne croirait que quelque minute avant il s’était limite fait violer et qu’il avait éclaté en larme comme un gamin. Je finis par m’endormir sans le vouloir. La tête sur l’oreiller avec un air adorable. Je ne sais même pas d’où me vient le fait de dormir ainsi.

Messages : 249 Date d'inscription : 20/03/2013

Je continua de dormir profondément et gémis violemment en toussant aussitôt. Je me réveilla assez vite et regarda doucement mon colocataire sans rien dire. Je toussa une nouvelle fois violemment et commença à reprendre mes esprits. Je fronça violemment les sourcils en me voyant aussi proche de lui et me détacha assez vite de lui. Je le regarda dormir d'un regard noir et soupira faiblement, qu'est-ce que je faisais là déjà ? J'haussa calmement les épaules et me baissa très doucement pour être face à son bas-ventre. Je lui déboutonna très doucement les derniers boutons de sa chemise en effleurant son bas-ventre et commença très doucement à déboucler sa ceinture, léchant doucement son bas ventre. Je toussa une nouvelle fois faiblement en soupirant et finis par retirer son jean, je baissa très doucement son boxer et caressa très doucement son entre-jambe. Je le regarda d'un air ennuyé et noir et le mis aussitôt dans ma bouche en fermant les yeux. Je commença à caresser avec ma langue l'extrémité de son pénis en appuyant légèrement dessus et recommença à caresser la base de sa verge en voulant l'entendre. Je voulais l'entendre gémir. Je le voulais. C'était un besoin pour me calmer. Je ne savais pas pourquoi mais c'était comme ça. Je me retrouvais à califourchon sur lui, mes jambes entourant ses hanches tout en continuant de lui faire une fellation. Je passa ensuite mes mains sous sa chemise en montant de plus en plus et finis par m'arrêter en le regardant. J'esquissa un léger sourire machiavélique et déposa un baiser sur son torse en m'asseyant rapidement sur sa verge tout en gémissant faiblement de douleur. Je continua de lui caresser le torse et finit par le lécher en montant petit à petit ma tête pour finir par déposer un suçon dans son cou. Mes mains continuant de caresser son torse en passant très doucement sur ses tétons. Je resta à califourchon sur lui en gémissant toujours autant de douleur et finit par recommencer à me baisser pour continuer ce que j'avais commencé un peu plus tôt.
Je passa finalement un regard vers son visage et me renferma sur moi-même tout en toussant faiblement. Je changeais facilement de personnalité mais je ne pouvais m'empêcher de le faire à chaque garçon qui se présentait à moi. Autant pour le faire souffrir que pour le draguer. Tout dépendait du type de garçon qui se trouvait devant moi, sous mes yeux. Lui, je ne savais pas vraiment quelle réaction il allait avoir, si au moins il pouvait se réveiller. Je recommença à tousser puis me tourna vers l'heure pour savoir vers quelle heure il me serait conseillé de dormir. Seize heures .. il était seulement quatre heures de l'après-midi .. j'avais encore tout mon temps pour en profiter. Du moment que je dormais tôt par la suite tout m'allait. Même si je savais qu'il allait m'en vouloir pendant un bon moment, je reprendrai cette personnalité plus que enfantine. Avec ma vraie personnalité, je ne ressentais rien, quasiment rien. Je ne savais pas vraiment rire ni être triste. Tout ce que je ressentais était cette haine, cette colère envers les hommes. Cet envie de les mettre au lit pour ensuite les rejeter. Mes mains recommencèrent à caresser la verge tendue de mon colocataire sous mon regard quasiment vide d'émotions. J'ai bien dit quasiment.

» Johnattan Remy Swann Ou Le P'tit Con Surdoué
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